• Trop fort.

    Décidément l'histoire se répète.

    Zolpidem a été désormais mis sur la liste des stupéfiants.

    Sa prescription nécessite maintenant des ordonnances "sécurisées", comme la morphine, ou encore les analogues de l'heroïne, utilisés comme produit de substitution aux drogues "dures"......

    Alors que l'usage régulier de ces produits rend autant dépendant que les drogues auxquelles ils sont censés se substituer, les ordonnances dîtes "sécurisées" n'on jamais permis d'éviter les abus, sécurisant ainsi plutôt les administrations sociales et leurs zombies aux idées fixes, partiales et finales.

    Il faut s'attendre donc à ce que les différentes molécules semblables au Zolpidem, prennent la même direction que lui.

    Pour les médecins un peu plus vieux, ou un peu plus c.n, dont je fais partie, cela n'est pas sans rappeler le parcours de produits comme le Rohypnol, qui avait été prescrit pendant des années, puis prescrit "sur ordonnance sécurisée", puis, prescrit "uniquement par les neurologues et.ou les psychiatres"(ce dernier cas de figure concernant peut être davantage le  clonazépam, il faudrait vérifier..), avant d'être tout bonnement retiré du marché.

    Voilà qui n'est pas non plus sans rappeler la fameuse cocaïne dont l'autre Viennois barbu délirant et accro  faisait usage en continu pour se re-donner virilité et santé mentale, en toute légalité à l'époque, et , qui, finalement, au cours du temps, a été reconnu comme un stupéfiant dangereux, ni plus ni moins.

    Il s'agit , finalement, des phases 3 et 4 de l'étude d'un médicament, chers concitoyens, qui peuvent durer une ou plusieurs générations, le temps que les autorités sanitaires constatent, sur l'"échantillon populaire national ou mondial", l'absence d'effets secondaires ou collatéraux d'un médicament qui n'a jamais réussi à tuer plus d'un rat au cours des phases 1 et 2 des fameux "essais thérapeutiques".......

    Nous y voici donc, il aura fallut attendre tout ce temps, sans se pré-occuper de ce que des générations de médecins avaient pourtant constatés et/ou déclarés aux "autorités de santé"......

    Il ne nous reste plus qu'à encourager la construction de plus en plus d'EHPAD (2tablissement Hostile Prolongeant Agonie et Desespoir) afin d'accueillir tous les "Alzheimer" consécutifs à ces années d'essai cliniques de phase 3 et 4.

    Comme quoi, les essais pharmacologiques profitent bien au peuple, d'une manière ou d'une autre.....

    Et comme disait Coluche, "rigolez pas, c'est avec votre pognon"

    Au pays de Descartes......

    Docoach

     

     


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    on nous assomme depuis quelques temps de ces 11 obligations vaccinales.

    Il faut tout de même resituer le contexte:

    nous sommes en France, le pays des droits de  l'Homme et du Citoyen.

    Un homme politique qui voterait pour l'application d'une obligation de ce genre serait vraiment en dehors de toute conscience de responsabilité de la santé du citoyen. Je ne veux pas croire que nous (vous) ayons élu des représentants de ce genre.

    Soyons sérieux: "les antibiotiques, ce n'est pas automatique", est une formule aussi pertinente que "la vaccination ce n'est pas une obligation".

    On présente souvent les vagues d'immigration (suite aux massacres, par exemple, en Syrie, hélas, ces dernières années.....) comme étant des évènements propices à la propagation des maladies de manque d'hygiène, comme le tétanos, la diphtérie, ou la polyomyélite, par exemple, pour ne citer qu'elles. Grosso modo, on saute rapido sur une solution de facilité, de rapidité, de "bonne conscience". On a injecté la panacée anti-maladie. On peut s'occuper de l'hygiène des ces migrants plus tard....bien plus tard. Après tout, ils vivent dans la rue en attendant mieux, et, préçisément, en attendant, au moins, on leur aura permis d'éviter de tomber malade du tétanos, de la polyo, de la diphtérie. Tout est règlé, et ils ne propageront plus ces vieux fléaux à travers le pays qui les accueille. Ils peuvent donc continuer à coucher dehors, sans l'hygiène de base, à elle seule, propre-sans jeu de mots-à éviter le béri béri, le pellagre, le scorbut , bref, toute forme de réduction de l'immunité par des conditions de vie déplorables. Non, tout va bien Madame la Marquise, au moins la population migrante est vaccinée. A la rue, faisant la manche, carencée, immuno-incompétente, mais vaccinée.

    Quand il ne s'agit pas des migrants, on présente la nécessité de vacciner devant les épidémies croissantes de papilloma, d'haemophilus, de méningocoque, d'hépatite B, de rougeole, d'oreillons, de rubéole, de coqueluche qui submergent le pays. Un pays "moderne", civilisé, au sommet du progrès technologique et scientifique. A voir cette peur des épidémies dans un pays si perfectionné, on est en droit de se poser la question légitime de la pertinence du mot "progrès" attribué à la science en général, et à la médecine en particulier. Cela n'étonne pourtant personne que le nombre des handicaps physiques ou mentaux croissent avec ce progrès! Personnellement, il me semble qu'on devrait constater l'inverse, non?

    Pourquoi le système immunitaire de nous autres, "civilisés", seraient si déficient, dès la naissance, dans ce monde pourtant au sommet de la connaissance !

    Je crois que pour comprendre une partie du problème -et je dis bien une partie, car je ne prétends pas détenir LA vérité, à l'inverse des "acharnés des vaccins" qui pensent que c'est une "solution finale"- il faut avoir un vécu de médecin à domicile. Il faut avoir été chez nos contemporains, toute classe sociale confondue. L'hygiène physique autant que morale, nécessaire à une immunité naturelle suffisante, est loin d'être générale. Croyez moi sur parole. J'ai vu des situations sociales que Zola lui même décrivait à son époque. Et lorsque le matériel est stérilisé au mieux, souvent le chaos moral le remplace malicieusement. Mais ça, personne n'en parle. Personne ne le sait. Et celles/ceux qui l'ont vu n'ont que peu de moyen de changer les choses. Ce sont nos représentants qui devraient venir partager nos visites à domicile, et apprécier, de leurs yeux, l'étendue du "progrès", qu'il soit social, scientifique, ou technologique.

    Dans ces conditions, la vaccination, qui sur le principe reste un moyen pertinent de stimuler l'immunité à condition de la maîtriser,  pourrait être resituée dans un contexte socio-économico-politique, comme une thérapie de dernier recours, et non plus de "cache-misère" (au sens large....)

    Docoach

     


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    une très bonne formule pour éviter (ou soigner) la déshydratation consiste à appliquer la formule universelle suivante:

    un demi litre d'eau encapsulée

    -un demi litre de Coca Cola light ou zéro sucre, sans caféïne de préférence.

    -le jus d'un demi citron

    -une cuillerée à café de sel

    -éventuellement un demi sucre, pour éliminer le gaz

     

    mélanger le tout, et vous obtenez une formule de réhydratation que vous pouvez reconstituer presque n'importe où dans le monde.

    Simple et efficace, je transmet cette recette avec succès à tous mes patients quels que soit leur âge, depuis plus de 15 ans.

     

    Partagez, n'hésitez pas, cela peut sauver des vies.

    Souvenez vous: l'eau, c'est la vie........

     

    Docoach


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