• SOMMEIL ET ACOUPHENES PAR AURICULOTHERAPIE

     

     

    les troubles du sommeil sont un domaine de predilection de mon auriculothérapie. Les résultats sont presque de 100%.

    Il n'en a pas été toujours ainsi au départ. C'est par l'utilisation des fréquences de Nogier, et la compréhension de ce qu'on pourrait appeler l'homéostasie des pavillons auriculaire, que j'ai petit à petit perfectionné ma technique.

    La prise en charge des troubles du sommeil n'échappe pas à l'équilibrage des zones reflexes des pavillons auriculaires. Je dirai même que les résultats sont encore meilleurs.

    L'utilisation de la stimulation par fréquence des points du pavillon auriculaire (selon les fréquences de Nogier) permet de "faire naître", me semble t il, les bons points à stimuler, selon le type d'endormissement. Ainsi les points du Raphé ou ceux du Locus Coeruleus, malgré leur spécificité semiologique en terme d'endormissement ou de réveil, apparaîssent (ou pas), selon le ré-équilibrage qui précède leur stimulation. Et parfois, ces point peuvent apparaître en contradiction avec la logique de la reflexion. Cela n'est pas le cas le plus fréquent, mais il mérite d'être signalé.

    Dans cette contradiction, on peut se demander: "mais alors doit on stimuler le point "illogique" ?" Avec le recul que j'en ai, je dirai franchement "oui". Les bons retours me le témoignent régulièrement. A condition d'avoir fait un travail, en amont, de ce que je nomme le "ré-équilibrage" des pavillons de l'oreille, par les fréquences de Nogier. Paul et Raphaël Nogier ont sans doute, dans ce domaine, "touché du doigt" une connaissance complétement méconnue des médecins jusque là. Et je me demande si leur utilisation ne demande pas encore de notre part de l'approfondissement.

    Passons maintenant au domaine des acouphènes.

    Depuis le début de mes études médicales, on m'avait toujours dit et re-dit que les acouphènes ne se soignent pas.

    A l'époque, c'était le médicament VASTAREL qui avait le vent en poupe pour les acouphènes, avec un succès mitigé, il faut bien le reconnaître.

    Lorsque j'ai débuté mes soins par auriculothérapie pour prendre en charge les acouphènes, j'ai été étonné des bons résultats. Certes, tous n'étaient pas supprimés, mais plus d'une fois sur deux, clairement amélioré.

    J'ai exploré une davantage le problème des acouphènes en revenant à la "méthode auriculothérapique". En cela, Raphaêl Nogier m'a beaucoup appris au cours de ses consultations. 

    Il me semble aujourd'hui, avec le recul sur les bons résultats, que c'est la "méthode" qui prélude aux bons résultats. Un peu comme pour les troubles du sommeil. Autrement dit, qu'il ne faut pas préjuger des points à stimuler par les fréquences (oui, encore elles), mais plutôt chercher , en amont à faire une stimulation globale que je pourrai appeler "de ré-équilibrage", et des deux oreilles. Là encore, la concentration de la prise en charge par une approche globale , centrée sur les pavillons, est une sorte de "pré-requis" pour en venir aux points reflexes des acouphénes (ou plutôt point "préjugés" d'être ceux des acouphènes).

    Le recul me fait crier victoire de manière peut être prématurée, rien n'étant jamais "gagné à tout jamais" dans le domaine médical, mais je ne peux nier les bons résultats -surtout dans un domaine aussi mal soignable que les acouphènes!- que j'observe. Il est un fait notable aussi dans ses bons résultats, c'est ce qu'on pourrait appeler la "discrétion" avec laquelle les acouphènes s'estompent suite à un de me traitements en auriculothérapie: il faut un certain temps au concerné pour se rendre compte que, désormais, le "pénible son" s'est presque amendé.

    Le problème des acouphènes c'est qu'ils sont souvent méprisés par les soignants de tout bord, peut être parcque cela n'est jamais agréable de reconnaître leur impuissance, et aussi parcque cela n'est guère "sérieux" comme trouble, en comparaison à une tumeur cancéreuse, par  exemple.

    La méthode douce, par traitement fréquentiel me semble supérieure aux poses de grains ou d'aiguilles semi permanentes dans ce domaine. En tout cas dans mon expérience.

    Et c'est toujours appréciable de connaître une thérapeutique douce, qui ne nuit pas, et efficace!(et de pouvoir en faire bénéficier les malades)

    Docoach